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Ce qu’il faut savoir sur le marché de l’immobilier à Hossegor

Les prix de l’immobilier sont en augmentation depuis les douze derniers mois à Hossegor. Mais ce constat est loin d’être un cas isolé. En effet, plusieurs villes de France affichent des augmentations plus ou moins conséquentes des prix des maisons ou des appartements. C’est notamment le cas de Nantes, Rennes, Toulouse ou Montpellier. Mais au-delà de l’évolution des prix, quelles sont les caractéristiques du marché de l’immobilier à Hossegor ? Voici les informations qu’il faut retenir.

Des hausses de prix depuis au moins les douze derniers mois

Comme évoqué en introduction, cette réalité n’est pas le propre d’Hossegor. Loin s’en faut. En effet, les hausses de prix s’observent presque partout en France. Les professionnels de l’immobilier Hossegor parlent d’un cycle, d’une période quasi inéluctable durant laquelle les biens gagneraient en valeur. Mais dans un certain sens, ces hausses reflètent aussi la bonne santé du marché en général. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, les hausses ne sont généralement pas de nature à repousser les acquéreurs potentiels, c’est tout le contraire qui se produit. En ce qui concerne Hossegor en particulier, les hausses figurent parmi les plus importantes en France, du moins si l’on se réfère aux chiffres des douze derniers mois. En effet, le prix moyen de la maison a augmenté de 9.13 %, ce qui équivaut aujourd’hui à 6.644 euros par m2, tandis que dans l’ancien, le prix moyen a augmenté de 8.70 %, soit 6.412 euros par m2.

Les meilleures affaires à Hossegor

Dans les grandes métropoles françaises et européennes, en particulier si elles sont prisées des étudiants, comme Nantes, Rennes ou Lyon, entre autres, ce sont surtout les petites surfaces – notamment les studios ou les T2 – qui ont la cote. A Hossegor, c’est tout le contraire. Les maisons qui attirent le plus les investisseurs sont des quatre, cinq ou six-pièces. Certaines annonces intéressantes proposent même des sept-pièces dont la surface habitable dépasse 200 m2 et qui se négocie au-dessus de 4.900 euros le mètre carré.